mercredi 27 février 2013
...
Par Cecilchen, mercredi 27 février 2013 à 08:54 :: Pensées en vrac
Sometimes you can't make it on your own.
jeudi 14 février 2013
Pensée du jour
Par Cecilchen, jeudi 14 février 2013 à 10:01 :: Pensées en vrac
"Un bon enseignant, c'est quelqu'un qui est capable d'emblée de faire un deuil."
(Frédérique)
(Frédérique)
mercredi 8 décembre 2010
pine d'huitre
Par Cecilchen, mercredi 8 décembre 2010 à 20:29 :: Pensées en vrac
Prouvez que vous êtes en vie.
Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique.
Vous êtes prévenu...
Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique.
Vous êtes prévenu...
mardi 16 novembre 2010
Je n'aurais donc pas grand chose à rajouter...
Par Cecilchen, mardi 16 novembre 2010 à 13:43 :: Pensées en vrac
... concernant la situation actuelle.
J'en suis à un ras le bol assez puissant, concernant à peu près tous les domaines. La famille, les amis, le travail. Je suis dans une quête de sens, d'un but concret et gratifiant à atteindre, mais je m'encroûte définitivement dans une vie qui ne me ressemble pas. (Oh no, I see, A spider web is tangled up with me, And I lost my head, The thought of all the stupid things I'd said. Oh no, what's this? A spider web, and I'm caught in the middle, So I turn to run, The thought of all the stupid things I've done, And I never meant to cause you trouble, I never meant to do you wrong, And I, well if I ever caused you trouble, And oh no, I never meant to do you harm. Oh no, I see, A spider web and it's me in the middle, So I twist and turn, Here am I in my little bubble, Singing I, never meant to cause you trouble, And I, never meant to do you wrong, And I, well if I ever caused you trouble, Oh, no I never meant to do you harm. They spun a web for me, They spun a web for me, They spun a web for me.)
Voilà bientôt 3 mois que j'ai perdu le sommeil, que MisterX (personification du démon ?) erre tel un fantôme dans mes rêves les plus fous, comme une piqûre de rappel : t'es là pour en chier, Bibiche. Tu es là pour souffrir, on va s'en donner à coeur joie.
Alors que mon ami et confident le plus cher me quitte sans scrupule, m'abandonne, je me retrouve seule pour affronter cette nouvelle vie qui s'offre à moi. Dans quoi me suis-je engagée ? Le voulais-je vraiment ? Qu'est ce que je cherche, au fond ? Qu'est ce que j'attends ? Finalement, en réponse à tout ça, je m'accroche de toutes mes forces à de nouvelles personnes, alors que, dans le fond, je sais bien que mein Zweck c'est de finir seule (wenn alles nur etwas heller wär, so verstehe ich, in der Finternis wird alles deutlicher). J'en reviens donc à me questionner sur le but même de l'existence humaine... et j'avoue être un peu lassée de toutes ces conneries. Je me demande si mes larmes ont un goût amer, acide, ou de soupe aux champignons (so gut schmack die Suppe..). Je me demande si j'arriverai un jour à me reconstruire.
Demain est un autre jour, nous verrons bien ce qu'il en advient.
J'en suis à un ras le bol assez puissant, concernant à peu près tous les domaines. La famille, les amis, le travail. Je suis dans une quête de sens, d'un but concret et gratifiant à atteindre, mais je m'encroûte définitivement dans une vie qui ne me ressemble pas. (Oh no, I see, A spider web is tangled up with me, And I lost my head, The thought of all the stupid things I'd said. Oh no, what's this? A spider web, and I'm caught in the middle, So I turn to run, The thought of all the stupid things I've done, And I never meant to cause you trouble, I never meant to do you wrong, And I, well if I ever caused you trouble, And oh no, I never meant to do you harm. Oh no, I see, A spider web and it's me in the middle, So I twist and turn, Here am I in my little bubble, Singing I, never meant to cause you trouble, And I, never meant to do you wrong, And I, well if I ever caused you trouble, Oh, no I never meant to do you harm. They spun a web for me, They spun a web for me, They spun a web for me.)
Voilà bientôt 3 mois que j'ai perdu le sommeil, que MisterX (personification du démon ?) erre tel un fantôme dans mes rêves les plus fous, comme une piqûre de rappel : t'es là pour en chier, Bibiche. Tu es là pour souffrir, on va s'en donner à coeur joie.
Alors que mon ami et confident le plus cher me quitte sans scrupule, m'abandonne, je me retrouve seule pour affronter cette nouvelle vie qui s'offre à moi. Dans quoi me suis-je engagée ? Le voulais-je vraiment ? Qu'est ce que je cherche, au fond ? Qu'est ce que j'attends ? Finalement, en réponse à tout ça, je m'accroche de toutes mes forces à de nouvelles personnes, alors que, dans le fond, je sais bien que mein Zweck c'est de finir seule (wenn alles nur etwas heller wär, so verstehe ich, in der Finternis wird alles deutlicher). J'en reviens donc à me questionner sur le but même de l'existence humaine... et j'avoue être un peu lassée de toutes ces conneries. Je me demande si mes larmes ont un goût amer, acide, ou de soupe aux champignons (so gut schmack die Suppe..). Je me demande si j'arriverai un jour à me reconstruire.
Demain est un autre jour, nous verrons bien ce qu'il en advient.
vendredi 24 septembre 2010
it's the calm before another storm
Par Cecilchen, vendredi 24 septembre 2010 à 17:36 :: Pensées en vrac
mercredi 1 septembre 2010
un autre billet inuile
Par Cecilchen, mercredi 1 septembre 2010 à 19:40 :: Pensées en vrac
Les enfants qui s’aiment s’embrassent debout
Contre les portes de la nuit
Et les passants qui passent les désignent du doigt
Mais les enfants qui s’aiment
Ne sont là pour personne
Et c’est seulement leur ombre
Qui tremble dans la nuit
Excitant la rage des passants
Leur rage, leur mépris, leurs rires et leur envie
Les enfants qui s’aiment ne sont là pour personne
Ils sont ailleurs bien plus loin que la nuit
Bien plus haut que le jour
Dans l’éblouissante clarté de leur premier amour
-Jacques Prévert
Contre les portes de la nuit
Et les passants qui passent les désignent du doigt
Mais les enfants qui s’aiment
Ne sont là pour personne
Et c’est seulement leur ombre
Qui tremble dans la nuit
Excitant la rage des passants
Leur rage, leur mépris, leurs rires et leur envie
Les enfants qui s’aiment ne sont là pour personne
Ils sont ailleurs bien plus loin que la nuit
Bien plus haut que le jour
Dans l’éblouissante clarté de leur premier amour
-Jacques Prévert
jeudi 19 août 2010
high, running wild among all the stars above.
Par Cecilchen, jeudi 19 août 2010 à 11:22 :: Pensées en vrac
